Ce dossier prend une autre allure avec le transfèrement de François Beya à la prison centrale de Makala hier lundi 04 avril.
Placé à la défensive, le « collectif free François Beya » a tenu à éclairer l’opinion nationale qu’international sur le contour de ce dossier qui fait couler encre et salive depuis presque deux mois. D’où la raison de cette conférence de presse du mardi 05 avril.
Pour ce mouvement de lutte en faveur de François Beya Kasonga, le barbouze des premières heures de la République démocratique du Congo est arbitrairement arrêté.
Il sort de leur déclaration les recommandations ci-après : l’implication personnelle du Président Félix Tshisekedi en tant que Père et Garant de la Nation, la libération immédiate et sans condition de François Beya Kasonga, de son secrétaire particulier Guy Vanda, de ses protocoles David Cikapa et Claude ainsi que son garde du corps Jean-Pierre Kalenga. Il demande également à l’ANR de cesser ses menaces et intimidations à l’endroit de la conseillère en communication madame Sonya Lukusa et d’arrêter ses pressions et poursuites injustifiées envers ses membres, et en particulier Victor Tesongo contraint en clandestinité.
Par ailleurs, ce même collectif fustige l’agir de l’AG de l’ANR Jean Hervé Mbelu qui s’apparente aux méthodes de l’ancienne ANR dirigée par Kalev Mutond.
C’est le centre CEPAS de la commune Gombe à Kinshasa qui a servi de cadre à cet échange entre les défenseurs des droits de l’ex bras droit de Félix Tshisekedi et les professionnels des médias.
M Katshita
