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Fabrice Albert Puela, l’homme sur qui l’espoir du Congo se repose en matière des Droits Humains !

Ce mercredi 19 mai dernier, le Ministre des Droits Humains, Fabrice Albert Puela a eu une séance de travail marathon avec le Secrétaire général de son ministère ainsi que d’autres agents et cadres.

Après l’entretien avec les membres de l’administration de son ministère, Fabrice Albert Puela s’est confié à la presse.

« J’ai découvert un Secrétariat général avec des cadres et agents assez dynamiques, de bonne humeur, mais préoccupés par les conditions de travail qui ne sont pas bonnes. Imaginez l’administration d’un ministère sur lequel le Chef de l’État compte beaucoup qui travaille au sous-sol, dans une cave. Ce n’est pas normal.
Nous exprimons ici le cris de cœur des membres de l’administration des Droits Humains adressé au Chef de l’État, à travers le Ministère des ITPR, que le Secrétariat général des Droits Humains mérite d’avoir des installations dignes pour lui permettre de bien faire le travail, pour vulgariser, faire la promotion des Droits Humains parce que le cœur du travail politique tel que nous le produisons c’est dans l’administration. Et l’administration doit demeurer cette cheville ouvrière de l’action politique », s’est-il exprimé.

Et d’ajouter, « on ne peut pas dissocier l’action politique d’avec l’action de l’administration et pour nous, nous estimons que c’est le grand défis que nous avons.
Il nous revient d’amener les divisions du ministère dans des provinces où cela ne sont pas encore implantées. Voilà un autre défis. Mais aussi, à travers la justice transitionnelle, amener l’État à ramener la justice auprès de nos compatriotes qui ont été victimes. Il y a la justice classique qui a montré ses limites… »

Il a conclu par dire qu’aucune victime ne sera laissée pour son compte . « Faut-il laisser sans la moindre réparation les victimes de la guerre de six jours à Kinsangani, des massacres de Yumbi, de Kamwina Nsapu, de Beni, de Bundu Dia Kongo au Kongo Central ? Non, à travers la justice transitionnelle dont le Chef de l’État a lui-même évoqué, il faudra une réparation pour redorer l’image de la RD Congo auprès de nos compatriotes mais aussi à l’international. »

Molende MUTEBA

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