Premier et cinquième alinéa de l’article 43 de la Constitution
de la République démocratique du Congo
du 18 février 2006
« Toute personne a droit à l’éducation scolaire. Il y est pourvu par l’enseignement
national. L’enseignement primaire est obligatoire et gratuit dans les établissements
publics ».
Ceci n’est une invention de Félix Tshisekedi, encore moins du Ministre de tutelle le professeur Tony Mwaba. C’est depuis la nuit de temps que le législateur a souhaité que tous les Congolais de part les 4 coins du pays puissent avoir l’accès à l’éducation de base.
Rendue effective au mois d’août 2019, cette résolution constitutionnelle est combattue dès la première année. Les gens qui trouvaient du miel par la sueur des pauvres parents multiplient les stratégies pour son échec.
Eureka! Le professeur Tony Mwaba s’invite à la danse. Un pion que le Chef de l’État a trouvé pour sauver sa vision.
Pour couper cours aux supputations d’une part et d’une autre les confusions, les assises de Mbwela Lodge souvrent. Partenaires, syndicats et Gouvernement sur la table pour éclairer la religion et trouver des compromis efficaces.
24 heures avant la clôture des pourparlers, que des prouesses, que des annonces satisfaisantes pour le corps enseignant.
Désormais, tous les enseignants du niveau primaire bénéficieront dès la fin du mois de décembre prochain d’une prime dite « de la gratuité ».
Une autre promesse à l’avantage des enseignants : la prime de brousse et le deuxième palier sont pris en charge de le budget 2022.
La gratuité de l’enseignement primaire est non négociable. Le professeur Tony Mwaba, l’homme qui l’homme de la situation que l’EPST mérite !
JCN
