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Impact News

L’expression ‘’Mashi-a-mumeno’’ mal exploitée par les laboratoires de Katumbi et Fayulu :
Félix-Antoine Tshisekedi mieux compris, interprété et expliqué par Eddy Mundela Kanku





L’expression ‘’Mashi-a-mumenu’’ (Ndrl : Sang de mes gencives), utilisée par le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi a été mal exploitée par les laboratoires de Moïse Katumbi et Martin Fayulu qui lui ont collé les velléités tribalistes.

Avec raison, parce que Moïse Katumbi, dans sa malice légendaire, son hypocrisie, sa lâcheté et son indécision, il profite d’un régime qui lui procure avantages et protection pendant qu’il le ronge de l’intérieur. Habitué aux jeux d’échecs et d’une fausse lâcheté, Félix-Antoine Tshisekedi le laisse venir comme il l’avait fait en 2018 lors des travaux d’Afrique du Sud et de Genève qui ont fait catapulter une souris naine, comme candidat unique de l’Opposition qui a mordu la poussière.

A l’époque aussi, pendant qu’il chantait une fraternité des lèvres envers le Président du Rassemblement et Président de l’UDPS, l’homme qui a construit sa richesse sur le dos de la misère du peuple qu’il comptait combattre lors des législatives de 2006, laissait ses chiens enragés s’attaquer dans les médias et réseaux sociaux à son prétendu ‘’frère’’. Il réédite les mêmes exploits. Voilà pourquoi, ce sont ses chiens enragés qui donnent un sens à ‘’Mashi-a-mumenu’’.

Tous les plateaux des médias proches de Katumbi ont été sollicités et envahis par ses employés qui se sont déchaînés sur le Président de la République.

Pas de polémique

Locuteur de la langue tshiluba et membre de la délégation qui accompagne le Chef de l’Etat dans ce périple dans l’Espace Grand Kasaï, l’honorable Eddy Mundela Kanku, Premier Vice-président du Sénat, n’a pas voulu faire courir cette interprétation qui vide le sens à ce discoures qui a été très pragmatique et non démagogique. Félix-Antoine Tshisekedi a laissé son cœur parler, établissant le diagnostic sans complaisance de l’état combien misérable où se trouve l’Espace Grand Kasaï, tout en proposant des pistes de solution que son Gouvernement a déjà entreprises, a expliqué le 1er Vice-Président du Sénat. Partout où il est passé, le Président de la République appelle ses compatriotes : ’’Mes frères et sœurs’’.

Une mobilisation réussie

À Mupompa, village natal du Chef de l’Etat, situé dans le territoire de Kabeya-Kamuanga, plombant les deux anciennes Provinces du Kasaï-Occidental et du Kasaï-Oriental, le Représentant de la Chambre Haute du Parlement a mobilisé une foule qui a réservé un accueil chaleureux au Premier Citoyen du pays. Une joie immense pour le représentant du Sénat de communier avec la population particulièrement la base de son parti politique, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS qui n’a pas manqué à ce grand rendez-vous.

Le message du Président de la République a été celui de paix, de concorde et de cohésion nationale, lorsqu’il déclare qu’il a commencé ses tournées ailleurs où il y a la guerre pour finir à Kabeya Kamuanga, a déclaré le numéro Deux du Sénat, tout en invitant la population à s’abstenir de polémiques inutiles pendant que le travail produit les fruits palpables.

Très conscient de la misère que connaît sa base naturelle, le Premier Citoyen du pays les a rassurés de l’accompagnement du gouvernement pour redresser cette riche province avant de leur dire « vous êtes mon sang », a expliqué Eddy Mundela Kanku, qui a précisé que ‘’le Chef de l’Etat est avant tout Congolais et a bien évidemment ses origines’’.

Pour le Représentant du Sénat, ‘’après trois ans de séparation d’avec les habitants de Kabeya Kamuanga, le Chef de l’Etat a eu des mots justes pour rassurer ses frères et sœurs. Aucun péché dans ce qu’il a dit », a fait comprendre Eddy Mundela Kanku pour couper court à cette polémique maladroite

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