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Résiliation du contrat entre CHEMAF et la société Aigle One Security : Le Commandant de la 22ème Région sali pour rien par un torchon !

Un torchon sans siège et sans contact a été ramassé par certainement
les responsables de la société de gardiennage Aigle One Security pour
salir gratuitement le Commandant de la 22ème Région Militaire, Le
Général Major Smith GIHAGA, basé à Kolwezi dans la Province du
Lualaba.

Ce torchon qui n’a de Journal que son nom dont un pamphlet
distribué en PDF sur les réseaux sociaux n’a ni siège, ni aucun lien
pour atteindre ses auteurs dans le but de déposer un démenti, un droit
de réponse ou une mise au point. C’est ce qu’affirme Monsieur Luc
Basikaba, Directeur Chef de Bureau de CHEMAF/Kinshasa qui a déclaré
avoir en vain appelé les deux numéros dont l’un du réseau Airtel et
l’autre avec pour préfixe d’accès +241 (Gabon) indiqués sur la Une de
ce Journal. Voilà pourquoi, il a contacté notre Rédaction tout
simplement parce qu’il n’y a même pas une adresse au-dessus de ce
torchon dont le siège serait au même moment à Bukavu et à Kinshasa, en
vue démentir avec la dernière énergie les informations mensongères,
diffamatoires et calomnieuses qui ont lourdement porté atteinte aussi
bien à cet Officier Militaire dans ce Journal, qu’à son entreprise qui
exploite les mines dans le Grand Katanga, disposant d’une grande usine
produisant le cuivre et le cobalt à l’état fini. Des imputations
dommageables qui ont jeté un discrédit tant sur le Général-Major Smith
GIHAGA que sur les Forces Armées de la RDC. Ce qui constitue de graves
violations, et de la loi, et du Code d’éthique et de déontologie du
Journaliste. Personne ne peut remettre en doute l’intégrité et l’amour
de la patrie qui caractérisent cet Officier Supérieur de notre armée
dont le parcours est jalonné de glorieux faits de guerre. Mais les
lâches derrière ce torchon ont cherché par tous les moyens pour nuire
non seulement à sa réputation ; mais aussi et surtout outrager les
FARDC.
Ce torchon mêle tout dans un style du coq-à-l’âne. Il va jusqu’à faire
l’apologie de la xénophobie. Ce qui l’exposerait à des poursuites
judiciaires.

Voilà pourquoi, c’est un tract dont son auteur lâche ne
veut pas s’afficher. Il a préféré rester dans l’ombre dans un style
qui n’a rien de journalisme. L’on croirait que ce sont les
responsables de la société Aigle One Security qui ont eux-mêmes rédigé
ce torchon et balancé dans les réseaux sociaux.
Les raisons
Le contrat avec la société de gardiennage Aigle One Security a été
résilié tout simplement parce que plusieurs fois, les installations de
CHEMAF ont été envahies et vandalisées par certaines personnes de
mauvaise foi qui opéraient des vols et pillages des minerais et
certains biens sous la barbe des agents commis à la sécurité de cette
entreprise.
Le Chef du Bureau/Chemaf de Kinshasa a révélé qu’il est arrivé
plusieurs fois que certains exploitants artisanaux se soient permis
non seulement d’envahir ; mais aussi et surtout de procéder à
l’exploitation dans les installations de CHEMAF.
Beaucoup de pillages ont été effectués à tel point que le patron de
cette entreprise qui a toujours entretenu de  bons rapports avec
toutes les autorités, tant militaires, de la Police ou
politico-administratives, a fait appel au Commandant de la 22ème
Région Militaire qui a envoyé ses militaires pour déloger les
exploitants clandestins et mettre fin aux différents pillages qui y
étaient effectués, a-t-il indiqué. N’ayant pas exécuté convenablement
sa part des responsabilités conformément au contrat, la société CHEMAF
a tout simplement mis fin aux prestations de ce service de gardiennage
pour les confier à une autre société plus expérimentée.
C’est pour cette raison que CHEMAF a conformément aux textes légaux
résilié le contrat qui le liait à la société Aigle One Security tout
simplement parce qu’elle ne respectait pas sa part des responsabilités
pour assurer la sécurité des personnes et des biens qui lui
appartiennent.
Concurrence déloyale
Concurrence déloyale lorsque ce torchon parle d’une autre société qui
appartiendrait au Général GIHAGA Smith. Faux et archifaux, révèle
Monsieur Luc Basikaba qui dit mieux connaitre la société Standard.
C’est dans l’unique but de salir la réputation de cette autre société
dont les conditions ont été prédéfinies au départ. Il n’y a que des
Congolais. Ce ne sera pas non plus un péché ou une entrave à la loi
lorsque la société Standard se trouverait dans l’obligation de
recourir à la main d’œuvre étrangère au cas où elle ne trouverait pas
la réponse selon ses besoins au pays et ce, conformément aux textes
qui régissent le monde du travail.
C’est ici que Monsieur Luc Basikaba a informé que comme sa société ne
sait pas trouver où déposer le droit de réponse que CHEMAF se réserve
le droit de saisir les instances judiciaires pour retrouver les traces
de ceux qui ont conçu et mis dans les réseaux sociaux ce torchon.
Il a également promis de revenir sur les préjudices subis par CHEMAF
du fait de la négligence des agents de la société Aigle One Security.
Nicole Kakese

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