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Tribune :
Le bénéfice de la Nation congolaise à travers la stabilité du couple présidentiel !

La famille est la cellule de base d’une nation. Elle est le vecteur et le moteur du développement d’une nation. La réussite d’une nation ne peut se manifester que lorsqu’une grande partie des familles qui la composent est stable. Cette stabilité, fruit d’un partage équitable des ressources du pays ne peut qu’être animée et montrée par l’exemple des leaders aux différents degrés : politique, religieux, économique, culturel…
C’est de cette façon qu’une nation peut se développer. Les difficultés que l’on rencontre pour l’élan au développement d’une nation sont liées essentiellement au déséquilibre entre les familles surtout lorsqu’en face d’une misère noire, certaines familles affichent une opulence d’une arrogance ostentatoire qui frustre les autres. Cet enrichissement arrogant pousse plusieurs à marcher sur les textes légaux qui régissent la République. Ils en profitent pour multiplier femmes et enfants, faire souffrir les faibles, ravir les biens des pauvres pour davantage s’enrichir.
Conséquence, la société est livrée à son triste sort.
Aujourd’hui en RDC, plus de 70% des dossiers pendant devant les cours et tribunaux sont des conflits de succession. Ils emballent les familles, détruisent les foyers et privent au pays la quiétude avec comme conséquence, une société en conflits latents.
La jalousie, la haine, la médisance et diverses formes de convoitise s’érigent en mode de vie poussant plusieurs à la mort précoce.

Raison pour laquelle, on ramasse autant de bandits qui n’ont d’autres moyens que vivre sur les souffrances des autres autant que les politiciens le font sur les peines de la population.
Une famille s’affiche
Dans ce déséquilibre, une famille se lève. Une famille qui s’affiche unie et stable. Elle lance et montre un sourire à sa population. En larmes, comme dans la joie, la population reçoit ce sourire qui tente tant soit peu à redonner de l’espoir. Surtout que ce sourire vient d’une famille dont le chef est bien connu. Il est né du milieu de nous. Nous connaissons son père, sa mère, ses frères et l’on peut facilement dessiner son arbre généalogique sans peur d’être contredit. Nous connaissons où son père et sa mère ont été nés. Nous avons vu sa croissance, ses peines, ses humiliations et son ascension à la tête de notre nation.
C’est la famille de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Elle a pris l’habitude de nous donner une autre image de la famille de notre Chef de l’Etat. Celui dont l’on connait la Première Dame, dont l’on sait mettre les noms de ses enfants et ses frères sur chacun de leurs visages. Nous pouvons raconter les faiblesses de chacun de ses frères. Où ils se livrent à l’adoration de Dieu ou dans les temples de Bacchus.
Un couple omniprésent
Le couple de Félix-Antoine Tshisekedi est présent aussi bien dans le malheur comme dans le bonheur des familles auxquelles elle a accès. Même avec un de ses gardes à terre dans son cortège, accidenté au cours d’une course, il arrête tout, descend et se rend compte de la situation. De même son épouse, Denise Nyankeru Tshisekedi, il est impossible de retenir ses larmes et rester dans sa villa, lorsqu’elle apprend que deux jumeaux ont été tués, les familles de Rossy Mukendi et de Kapangala sont aux abois. Elle arrête tout, quitte sa villa et vole aux cous de ceux qui sont éplorés. Elle ne dit jamais avec quoi elle s’y rend. Un des artistes comédiens, Yandi Monsi nous a raconté : ‘’N’eût-été Maman Denise Nyakenru, je serai déjà mort’’, raconte-il lorsqu’il relate de quelle manière il a été admis à l’Hôpital HJ avec sa carte de la Mutuelle de Santé des artistes délivrée par la Fondation Denise Nyankeru Tshisekedi.
‘’Je suis allé à l’hôpital pour une simple consultation. On m’a passé par toutes sortes d’appareils sophistiqués pour procéder aux différents examens. Par la suite, il m’a été demandé d’enlever mes habits. Une autre tenue m’a été donnée en remplacement de mes habits de la maison. Vite, on a fait appel à mon épouse qui m’a rejoint et nous avons été internés pendant deux semaines, pris en charge totalement par l’hôpital. Au bout des deux semaines, je suis sorti après que beaucoup de maladies déclarées et non déclarées dans mon corps aient été soignées et guéries’’, s’est-il réjoui dans un langage comique. Là, il ne s’agit pas des solutions spectacles. Ce sont des solutions dans la durée. De même, les bourses offertes aux différents lauréats par la Fondation montrent la volonté de cette Femme de contribuer dans la durée à l’éducation de nos enfants pour un Congo meilleur à venir.
Un modèle de stabilité familiale 
L’Apôtre Paul donne les conditions pour l’établissement d’un Evêque dans une Assemblée locale. Des conditions qui devraient en principe être appliqué pour tout leader à quelque niveau qu’il soit.
En effet, écrivant à son fils Timothée, Paul dit : ‘’Il faut donc que l’Evêque soit irréprochable, mari d’une seule femme, sobre, modéré, réglé dans sa conduite, hospitalier, propre à l’enseignement. Il faut qu’il ne soit ni adonné au vin, ni violent, mais indulgent, pacifique, désintéressé. Il faut qu’il dirige bien sa propre maison, et qu’il tienne ses enfants dans la soumission et dans une parfaite honnêteté ; car si quelqu’un ne sait pas diriger sa propre maison, comment prendra-t-il soin de l’Eglise de Dieu ?’’ (1 Timothée 3, 2-5).

Si Félix-Antoine Tshisekedi remplit tous ces critères pour devenir un Evêque, il pouvait lui rester une seule condition : avoir une femme vertueuse.
Femme vertueuse
Celle-ci est un don de Dieu qui n’est pas une maison ou un bien matériel que l’on peut hériter de parents.
Notre observation personnelle du couple présidentiel de la RDC, nous a conduit à conclure qu’il s’agit bien d’un modèle de leadership exemplaire à suivre si une cité veut s’engager dans une bonne gouvernance pour son développement.
L’amour est un fruit qui se cultive dans la famille restreinte
Nous avons toujours répété ce dicton :’’Même la plus belle femme ne peut donner que ce qu’elle a’’. Vous ne pouvez pas demander à quelqu’un qui n’a pas vécu l’amour dans sa petite enfance et dans sa petite famille d’offrir un amour à un peuple. Or, l’amour ne peut être construit que dans une famille au travers la chaleur familiale. C’est sur ce point que l’on s’étonnait, avant COVID-19, lorsque Félix-Antoine Tshisekedi avait facile à embrasser certaines personnes envers qui il témoignait une considération ou admiration quelconque. On l’a vu se jeter dans les bras du Patriarche Antoine Gabriel Kyungu Wa Kumwanza qu’il appelle :’’Papa’’, avec raison, puisqu’étant parmi les rares amis de son père restés en vie. Il a été dans les bras de Jean-Claude Muyambo Kyassa, avec qui il a partagé les moments difficiles dans l’Opposition contre la dictature de Joseph Kabila.
Une attitude qui s’est construite dans une famille exemplaire qui lui a transmis les valeurs.
Sincérité et honnêteté
En face d’un Félix-Antoine Tshisekedi, vous trouvez un homme naturel, sincère et honnête. Il ne dissimule pas ses sentiments de joie ou d’exaspération.
Une attitude également que l’on trouve facilement dans le chef de son épouse, Mme Denise Nyankeru Tshisekedi. Une femme naturelle.
Quelques rares fois que nous l’avons rencontrée, vous vous sentez en face de quelqu’un qui n’est pas dans les spectacles, qui ne joue pas à la comédie et qui vous étale son cœur naturellement.
Devons-nous comprendre qu’il s’agit aussi d’une transformation obtenue grâce à la Parole de Dieu et surtout par leur soumission au Saint-Esprit ?
Il est possible de répondre par l’affirmative dans la mesure où pareille attitude d’humilité et de compréhension ne peut être remarquée auprès des hommes de leur acabit ou niveau. Ça, il n’y a que Dieu qui peut tailler des hommes et des femmes sous cette forme.
S’il faut y ajouter la stabilité que dégagent les images en famille Fatshi, il y a lieu de croire que cette famille peut être une bénédiction pour la nation dans la mesure où d’autres couples et familles peuvent copier le modèle qui pourra assoir la RDC.
Ton pied, mon pied
Le Chef de l’Etat, comme par le passé, a effectué tous ses voyages avec son épouse. Beaucoup ont trouvé une occasion de sarcasme lorsqu’ils pouvaient dire :’’Ton pied, mon pied’’. Cette attitude est à féliciter et à conseiller, dans la mesure où la femme constitue l’Intercesseure de son mari. C’est elle qui bâtit la maison. Or, si la maison du Président de la République est détruite ou instable, il est impossible que celui-ci construise sa nation. C’est de la paix et la sagesse que la Femme du Président lui procurent, qu’il tire toute la substance d’énergies pour élever toute la Nation.
Certains problèmes que notre pays a connus ont été provoqués par l’instabilité des couples présidentiels. On a vu une Dame, belle, bien bâtie et d’une corpulence enviable entrer dans le mariage pour que trois ans après, elle devienne méconnaissable, maigrichonne et aigrie pendant que son mari, un jeune homme beau, bien coiffé, a laisser sa barge grise pousser jusqu’à faire perdre tout l’éclat et toute la beauté au couple présidentiel.
Cette posture a été pratiquement à la base de la déstructuration non seulement du couple présidentiel dont l’apparition en public, pour raison de protocole donnait l’impression d’une famille instable, brisée et aux multiples problèmes ; mais aussi et surtout, de toute la nation qui a beaucoup perdu en termes des vies humaines les trois dernières années du règne de l’ancien Président.
Que des morts des innocents dans le rallonge du second et dernier mandat du prédécesseur de Félix-Antoine Tshisekedi, parce que le Président de l’époque n’avait plus quelqu’un qui pouvait le conseiller à l’instar d’Abigaïl de la Bible.
Or, il suffit qu’un Président ait quatre oreilles lorsqu’il se couche pour bien penser pour son peuple lendemain.
Denise Nyankeru Tshisekedi dispose des deux oreilles qui permettent à Félix-Antoine Tshisekedi de bien écouter son peuple et concevoir des politiques de nature à assurer la paix et la stabilité de toute une nation.
S’il faut y ajouter le Saint-Esprit et leur propre conscience construite dans la paix et non dans les maquis et dans les bruits des guerres, il est possible d’espérer que la RDC connaisse de meilleurs jours, pour vue que toute la Nation le comprenne.
Joël Cadet N.NDANGA
Serviteur de Dieu, Internationaliste et Journalist

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