Il a ainsi décidé. Le Maire de la ville de Matadi dans sa
communication : Interdiction aux véhicules poids lourds de circuler
dans la ville de Matadi avant 22 heures. C’est l’important de la
communication du Maire de la ville de Matadi Pathy Nzuzi Makengedi en
exécution de la décision de l’autorité provinciale.
Dans cette décision, l’autorité urbaine rappelle aux conducteurs et
convoyeurs des remorques et autres grands véhicules la nouvelle
réglementation d’entrée et de sortie à Matadi. Il les convie à se
conformer pour ne pas subir la rigueur de la loi.
En outre, une autre mesure d’interdiction de stationnement dans les
différentes artères pour des opérations de déchargement a été rappelée
à tous les opérateurs dans ce secteur de Matadi, la ville portuaire.
Les éléments de Police Nationale Congolaise ont été instruits pour
l’exécution de cette décision qui entrera en vigueur à partir du 22
février prochain.
Pour le bien-être de la population de sa juridiction, le Maire de la
ville, Pathy Nzuzi ne se lasse pas à prendre des mesures imposantes et
à se donner la peine pour que la paix, la quiétude et la sécurité
règnent à Matadi.
Dévouement pour la ville de Matadi
Ils sont rares, ceux-là qui gèrent le pays avec passion et placent les
intérêts de la population au-devant. Jeune et dynamique, le Maire de
la ville de Matadi Pathy Nzuzi en fait partie. Au four et au moulin à
la quête du bien-être de ses administrés, Pathy Nzuzi met tous les
moyens en jeu et gagne à tous les coups.
L’homme ne dort pas. Il est sans garde du corps quand il se livre même
à la régulation de la circulation routière. Tard la nuit, il fait son
propre chauffeur afin de réduire le niveau de criminalité qui avait
atteint des proportions graves.
Il sait se mêler dans sa population dans tous les milieux : églises
comme lieux publics. C’est un véritable flic. Il s’habille comme tout
citoyen lambda. Ce qui l’a davantage approché de sa population qui l’a
surnommé : ‘’Songe ya mbeli : pointe du couteau’’, pour faire allusion
à sa lutte acharnée contre le banditisme urbain appelé communément
‘’phénomène kuluna’’.
En effet, l’autorité urbaine de Matadi a regroupé les Kulunas en bades
de travail aux fins de contribuer à l’insalubrité dans la ville.
En plus, il a placé l’éclairage public sur toutes les artères de la
ville de manière à combattre l’obscurité qui est un facteur essentiel
de l’insécurité.
L’homme s’est aussi engagé contre l’insalubrité au point de se faire
surnommer : ‘’Matadi bopeto’’.
Les contrefacteurs aux arrêts
Dans la quête de la paix sociale et de la stabilité économique de son
entité, le Maire de Matadi avait lancé une opération de ratissage il y
a peu. Après plusieurs investigations de marathon, le résultat est
palpable.
La police nationale congolaise chargée par Monsieur Pathy Nzuzi, Maire
de la ville de Matadi, a mis la main à un groupe de contrefacteurs.
Depuis des lustres, ces derniers éjectent dans le marché les faux
billets de 5.000 fc et 10.000fc. Les éléments de la police ont
démantelé ce réseau et l’ont présenté à la presse devant les autorités
de la ville.
Selon l’autorité urbaine de Matadi, ces contrefacteurs venus de
Kinshasa en grande partie, après fabrication de leurs billets de
banque, se contentent de les éjecter au marché par l’entremise des
pauvres tenanciers des boutiques et autres magasins qui ne se doutent
de rien.
Cette opération de grande envergure ayant permis à l’arrestation de
plus de 10 faussaires a eu lieu au quartier Salongo dans la commune de
Matadi sur l’avenue Lombo numéro 24. C’est le fruit de la
collaboration étroite entre les autorités de la ville de Matadi et
celles de la police de la même juridiction. La valeur vénale de ces
faux billets est estimée à plus de 100 millions de FC, un trou énorme
dans l’économie nationale. Pathy Nzuzi promet par ailleurs de ne
jamais baisser les bras. Et qu’ensemble avec les éléments de la police
à sa disposition, il ira au front pour restaurer l’autorité de l’État.
Que les hors la loi prennent garde.
Réhabilitation de la route Trapica après 35 ans d’inaccessibilité
Plus de 35 ans, restée inaccessible, la route du quartier Trapica se
métamorphose. Sous la gestion de Pathy Nzuzi, la mairie de Matadi
finance sur fonds propres, la réhabilitation de cette route. Ces
travaux sont exécutés par l’Office de Voirie et de Drainage, OVD.
Désormais, les usagers de cette route ainsi que les riverains n’auront
plus à parcourir des distances pour contourner cette route qui se
ressemblait il y’a peu à une vallée dénivelée. Longue de 1 kilomètre,
la réalisation de cette route assouvira tant soit peu le besoin
d’accessibilité dans cette contrée de la ville, sachant que le soir,
emprunter cette route enclavée était comme se conduire au
sacrificatoire. Pour le Maire de la ville, c’est inadmissible que
certains enfants soient nés, grandis et devenus même parents sans
pourtant voir un véhicule passer sur cette avenue, savoir que c’est
depuis 1985 qu’elle est impraticable. Son souhait, c’est de donner
sourire à sa population.
