La chanteuse congolaise Barbara Kanam a été distinguée dans la capitale parisienne en France où elle a reçu la prestigieuse Médaille Vermeil de l’Étoile Civique, une décoration qui salue l’engagement personnel, le sens du devoir et les valeurs humaines portées par des figures d’exception.
Lors d’une cérémonie empreinte d’émotion dans un lieu symbolique de la capitale française, l’artiste a été honorée par le Comité de l’Étoile Civique, qui a voulu reconnaître son influence positive, son parcours professionnel constant et ses actions en faveur de la communauté.
« Cette distinction me touche profondément », a déclaré Barbara Kanam, exprimant sa gratitude envers le Comité et son Président pour cette marque de reconnaissance. Elle a également tenu à associer son public à cette réussite : « Je voulais partager ce moment avec vous, qui me soutenez et m’inspirez depuis tant d’années. »
Réputée pour sa voix, sa rigueur artistique et son engagement social, la diva a reçu cette médaille avec « humilité, joie et beaucoup d’amour », affirmant que cette récompense représente autant un accomplissement personnel qu’un encouragement à poursuivre son œuvre.
Créée en 1930 par la Ligue française d’entraide sociale et philanthropique, la médaille alors appelée Mérite Civique avait pour vocation de mettre en lumière les actes désintéressés, les initiatives citoyennes et les travaux réalisés pour le bien commun.
Les statuts fondateurs de l’organisation soulignaient déjà l’importance de « rechercher, discerner et signaler à l’attention publique les belles actions » menées dans l’intérêt général.
Rebaptisée Étoile Civique en 1968, la Ligue a conservé cet esprit d’encouragement aux engagements humains et sociaux. La médaille porte depuis cette époque son nom actuel, «médaille de l’Étoile Civique».
En rejoignant le cercle des personnalités distinguées, Barbara Kanam voit son parcours salué bien au-delà de la sphère artistique. Cette reconnaissance française souligne la portée de son influence et son rôle de modèle pour de nombreuses générations.
Shomba M.
