On ne jette des pierres que sur un arbre qui porte du fruit mur. C’est le moins que l’on puisse dire du lynchage dans les réseaux sociaux dont est victime le Directeur Général de l’Agence Nationale de promotion de l’entrepreunariat, le professeur Godefroy Kizaba. L’usine du mal dont certains fabricateurs sont cadres à l’ANADEC a résolu de s’introduire sans invitation dans sa vie privée où deux dames se trouvent également victimes des ragots et des imputations dommageables par cette usine du mal. Cette usine du mal qui avait réussi à l’époque de convaincre l’ancien Ministre Louis Watum de suspendre le DG Godefroy Kizaba au motif qu’il aurait détourné les fonds de fonctionnement de cette agence. Après les enquêtes conjointes menées par l’IGF et l’équipe du Ministère, il a été blanchi et la Présidence de la République avait exigé ainsi sa réhabilitation.
Alors que les activités de l’ANADEC étaient en berne durant sa suspension, sa reprise des fonctions fait désormais vibrer cet établissement public avec la promotion de l’entrepreunariat en provinces comme ici à Kinshasa par des descentes sur terrain. D’abord dans le Kongo Central, l’homme du terrain qui ne veut pas être dans son bureau climatisé de la Gombe, le patron de l’ANADEC s’est rendu dans le Haut-Katanga où il a fait la promotion de l’entrepreunariat local, tout en invitant la population à ne consommer que les produits locaux. Dans le district de la Tshangu, le professeur Godefroy Kizaba est allé à la rencontre des Personnes Vivant avec Handicappour les stimuler à l’entrepreunariat dans le but de leur inclusion et autonomisation.
La multiplication de ces activités à impact visible s’inscrivant dans la vision du Président de la Répubalique, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, celle de faire des millionnaires congolais, ne fait pas du bien aux ennemis de la République, surtout ceux qui ont travaillé avec l’ancien régime de triste mémoire, repêchés qui se trouvent dans les institutions. Voilà pourquoi, après avoir échoué comment le faire partir de l’ANADEC, ce qui était déjà la chanson de ces derniers, ces sirènes de mauvais augure ne décolèrent pas le retour de l’homme du terrain dont l’expertise en entrepreunariat qu’il enseigne à l’Université n’est plus à mettre en doute.
Contacté, le Directeur Général de l’ANADEC a refusé de danser au rythme de ceux qu’il considère comme lâches, tapis dans l’ombre pour envoyer des mercenaires l’injurier dans les réseaux sociaux. Le temps est au travail et non à prêter aux sirènes de mauvais augure habituées à distiller du venin. Et c’est à cela qu’elles s’adonnent depuis un temps, cherchant à jeter les peaux de banane sur la voie de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Nous y reviendrons avec détails sur les commanditaires de ce lynchage.
