Par Dr. Thomas Kamwenda, coordonnateur de l’union sacrée Afrique du Sud.
Même s’il ne lui restait qu’un seul jour à la tête de la magistrature suprême, le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ne quittera jamais le pouvoir sans avoir laissé au peuple congolais un héritage institutionnel majeur : une nouvelle Constitution, congolisée, adaptée aux réalités du pays et centrée sur l’intérêt suprême de la Nation.
Cette détermination s’inscrit dans une vision claire : celle de doter la République Démocratique du Congo d’un cadre juridique moderne, en harmonie avec ses propres aspirations et non dicté par des modèles importés qui, souvent, n’ont pas su refléter les besoins profonds de notre société.
Une Constitution pour le Peuple et par le Peuple
La future Constitution ne sera pas l’affaire d’une élite restreinte, mais l’aboutissement d’un processus participatif et inclusif. Elle garantira que le seul et unique bénéficiaire prépondérant demeure le peuple congolais. Car il ne s’agit pas d’un simple texte juridique, mais d’un pacte social qui scelle le présent et prépare l’avenir de nos générations.
Tshisekedi, incompris aujourd’hui mais reconnu demain
L’histoire a souvent montré que les grands bâtisseurs ne sont pas toujours compris par leurs contemporains. Félix Tshisekedi ne fait pas exception. Mais demain, les Congolaises et Congolais, ainsi que leurs descendants, se souviendront avec reconnaissance de l’homme qui aura eu le courage d’engager cette réforme historique.
Un changement inévitable et salutaire
Le changement de la Constitution n’est pas une menace, mais une nécessité. Il ne vise pas à servir des ambitions personnelles, mais à consolider la démocratie, renforcer l’État de droit et offrir un avenir meilleur aux générations futures.
C’est pourquoi, avec foi et détermination, nous affirmons haut et fort :
QUE VIVE LE CHANGEMENT DE LA CONSTITUTION !
Joachim D.
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