Résiliation du contrat unilatéralement de la collaboration avec l’IGF par l’ODEP : Guerre des tranchées entre ONGDH à la quête de la corruption de Jules Alingete ?
On l’a assez dit. Beaucoup d’animateurs des organisations non gouvernementales des droits de l’homme, très souvent Présidents à vie ne travaillent que pour leurs ventres. Très souvent seuls à la tête des organisations qui paraissent des coquilles vides sans membres, ne disposant que d’un local où on ne trouve qu’une secrétaire, des fois, sans même le siège, ces animateurs se livrent à toutes sortes de gymnastiques, parfois, à l’encontre de ce qu’ils dénoncent pour survivre. Ces gymnastiques exercées avec les officines étrangères que nationales vont jusqu’à se faire corrompre pour ne pas dénoncer leurs corrupteurs.
C’est le moins que l’on puisse dire du contrat de partenariat entre l’Inspection générale des finances et l’ONGD ODEP que d’aucuns croyaient une structure de l’Etat au regard de ses rapports qui sont toujours excessifs lorsqu’il s dénoncent la gestion du pays par le régime actuel. Conduite par Monsieur Florimond Muteba, Président à vie, cette ONGD a signé un contrat avec l’IGF pour taire toutes les antivaleurs dont a été accusé le patron de service attaché à la Présidence, sensé combattre les détournements des deniers publics. Que nenni. Monsieur Muteba a été ainsi invité à fermer yeux, bouches et oreilles sur toutes les dénonciations faites dans les medias où le patron de l’IGF, Monsieur Jules Alingeté a été indexé d’avoir contribué au coulage des recettes avec les Indiens de Beltexco et de RawBank et surtout pour s’être fait corrompre à la GECAMINES, société de l’Etat à laquelle, il a adressé les notes d’honoraire pour les prestations de son service, aussi de l’Etat et pris en charge par le trésor public.
Loin du souci d’accompagner ce service, le retrait de l’ODEP de sa collaboration avec l’IGF est lié à son souci de contrôler les 13 ONGD qui sont dans un deal du silence face aux antivaleurs et aux actes de mégestion de l’unique proche de Félix-Antoine Tshisekedi qui semble le seul à s’enrichir, tout en s’attaquant et en jetant en pâture, l’honneur de tous ceux autour du Chef de l’Etat qu’il sent comme ses potentiels concurrents dans sa course au dauphinat de ce dernier en 2029. Il ne veut donc pas que Jean-Claude Katende, Président de l’Association africaine des Droits de l’Homme, ASADHO soit à la tête de ce deal. Pour cause ?
En Effet, Florimont Muteba, président du conseil d’administration de l’Observatoire de la dépense publique (ODEP), a annoncé lundi la fin de la collaboration entre son organisation et l’Inspection générale des finances (IGF). Ce partenariat, qui regroupait 13 organisations de la société civile parmi les plus influentes du pays, visait à renforcer la lutte contre la corruption.
Pour l’ODEP, Félix Tshisekedi, aurait décidé de supprimer la Patrouille financière, un mécanisme essentiel de contrôle des dépenses publiques en amont.
L’Inspection générale des finances (IGF), qui dépend de la présidence de la République, rejette cette accusation et affirme que la Patrouille financière est toujours active, notamment dans le suivi de la chaîne de la dépense.
Elle précise cependant que le dispositif a été suspendu temporairement, pendant six mois, dans certaines entreprises publiques, afin de permettre la mise en œuvre des recommandations qu’elle avait formulées. Après cette période, cette Patrouille Financière a repris ses activités normalement.
Désaccords internes
L’ODEP critique également la création d’une unité de lutte contre la corruption au sein de l’Agence nationale des renseignements (ANR), qu’elle considère comme un « dédoublement » des fonctions de l’IGF. Elle estime aussi que cette unité inclut des agents peu expérimentés en finances publiques, ce qui, selon elle, pourrait affaiblir l’efficacité du contrôle financier.
L’IGF réfute ces critiques et assure même qu’un partenariat a été signé avec l’ANR dans le but de renforcer le contrôle. Selon cet accord, les dossiers seront transférés à l’IGF pour une analyse technique approfondie et une meilleure orientation des enquêtes.
Enfin, l’Inspection générale des finances attribue les accusations de l’ODEP à des désaccords internes parmi les organisations de la société civile. Ces tensions porteraient sur la gestion administrative et financière de la collaboration entre les 13 organisations impliquées dans le partenariat avec l’IGF.
Share this content:
Laisser un commentaire