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Exigeant à tout moment des solutions politiques avec l’arme à la main, Paul Kagame à la quête de la piste Habyarimana !

Connu pour Hitler de la Région des Grands Lacs pour avoir engagé la Première guerre mondiale africaine, Paul Kagame tient à pousser Félix-Antoine Tshisekedi à la faute. Le Président rwandais répète les mêmes recettes. Pousser son adversaire à tout lui accorder sur le plateau des négociations politiques avec arme à la main, pourrir la situation pendant qu’il cherche comment l’éliminer physiquement. C’est ce qu’il a fait avec le Président Juvenal Habyarimana qu’il a tué ou fait tuer alors que celui-ci lui avait tout donné dans les accords d’Arusha.

Ayant compris cette recette, le Président de la République Démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo l’a entraîné dans son jeu. Jouant au naïf, Félix-Antoine Tshisekedi, s’est laissé à première vue, embobiner en lui tendant la main. Entre temps, le Chef de l’État congolais a travaillé l’armée et les forces de sécurité avant de décréter l’état de siège qui a fait asphyxier l’économie rwandaise.

L’ayant compris tard, alors que Tshisekedi avait déjà une longueur d’avance sur ses stratégies, Paul Kagame s’est réveillé au moment où la diplomatie congolaise avait déjà détruit son arme la plus farouche, le génocide rwandais qui a été utilisé jusqu’à ce jour pour séduire les Occidentaux.

Et là, il a tenté de convaincre la Communauté Économique de l’Afrique de l’Est, usant du rapprochement raciste derrière les Nilotiques. Là aussi, Félix-Antoine Tshisekedi à réussi à déjouer la carte.
Cependant, avec l’infiltration dans l’armée, la presse congolaise et dans les services des renseignements, il a relancé l’intox, la manipulation et l’agression à travers ses lobbys par tous ces canaux.

Facile de trouver ceux qui communiquent pour le Rwanda à travers le M23: ce sont des journalistes, opérateurs des réseaux sociaux, Communicateurs et membres de certains mouvements citoyens qui font non seulement de l’apologie du crime, mais aussi et surtout annoncent, exaltent les avancées de ce mouvement dit rebelle. Ils se taisent lorsqu’il s’agit des avancées des FARDC ou des zones par l’armée congolaise récupérée.

Poussé dans ses derniers retranchements, Paul Kagame est allé s’agenouiller devant ses parrains occidentaux. Complices de l’agression de la RDC depuis 1994, ils lui sont venus au secours en renouvelant l’embargo. Comme mensonges, ils disent par la bouche du Représentant de l’Union européenne à Kinshasa que cela ne concerne que les groupes armés pendant que la RDC doit signaler avant toutes sortes d’armes qu’elle doit se procurer.
Mensonge, lorsque l’on sait comment cette hypocrite communauté internationale est restée muette face à la boucherie de plus de 12 millions de Congolais.

Ainsi, ayant échoué le plan d’encerclement par le Congo Brazza avec ses fermes achetées dans toutes les zones frontalières dans les régions de l’Est et le Kongo-Central, Paul Kagame court chez Lorenzo. Entre temps, il fait pourrir la situation, tout en cherchant par quel moyen éliminer celui qui a découvert son plan machiavélique.

C’est ici que les Congolais devraient être vigilants au lieu de croire que la mort du Président Félix-Antoine Tshisekedi profiterait à un d’entre nous. La RDC est abandonnée à son triste sort. Seul l’assaut patriotique, à travers l’engagement de tous contre l’agression pourra nous sauver. A son niveau, le Président Félix-Antoine Tshisekedi doit savoir qu’on ne mange avec le diable qu’en utilisant de longues fourchettes. Ne pas le savoir pourrait conduire à la fatalité surtout que nous avons certains d’entre nous utilisés et qui pensent qu’une fois Tshisekedi parti, ce serait Katumbi ou Fayulu qui le remplacerait automatiquement.

L’option de la guerre devrait être priorisée tout en restant ouvert au dialogue. Aussi, l’option de travailler dans les médias, réseaux sociaux et dans la communication pour faire face aux méthodes Kagame. Il est peut-être difficile de récupérer les communicateurs achetés déjà à la cause de l’ennemi par le truchement de la haine tribale, il est toutefois loisible de construire une autre armée médiatique qui peut accompagner les troupes aux fronts.

Nicole Kakese

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