La loyauté et la compétence d’Acacia Bandubola, Ministre de l’Economie du Gouvernement sortant, au service de son pays.
Sa brillante prestation dans l’émission
« Parlons-en de Top Congo FM, nous a prouvés
combien cette dame de fer aime son pays.
Elle a pu éclairer efficacement l’opinion sur la
mission et le rôle de son ministère.
Alors qu’elle fait l’objet d’une campagne de
diabolisation par certains compatriotes suite
à l’ignorance et à la mauvaise foi, le Ministre sortant
de l’Économie nationale,
Acacia Bandubola, était l’Invitée de l’émission
»Parlons-en sur les vagues de Top Congo FM. En prenant le micro, on pensait être dans une
session d’histoire économique de la RDC
qu’elle offrait, en véritable technocrate.
Studieuse, instruite en la matière et chevronnée, elle a démontré qu’elle maitrise
parfaitement son secteur en énumérant les
éléments et les points majeurs de la
fragilisation de l’économie de la RDC, qui a
subi de nombreux chocs exogènes et
endogènes entre autres; rébellions,
assassinats, pillages, instabilité politique,
sécessions, mauvaise gouvernance depuis
des décennies, mauvaises réformes ainsi
que la zaïrianisation qui a encore affaibli le
tissu économique en refroidissant les
investissements.
Après avoir brossé le sombre tableau de
l’histoire économique de la RDC qui l’a aussi
comparée à celle de la Corée du Sud pour démontrer
que notre économie est en berne et qu’elle
n’a pas besoin de magie pour la propulser,
d’où, il faut assez de temps pour mettre en
place des politiques économiques efficaces
de manière cyclique, conjoncturelle et
structurelle qui serviront d’éponge lors d’un
choc économique.
Quant à son apport au Gouvernement, elle est
revenue dans le contexte dans lequel elle
travaillait. Il convient de rappeler que le
Gouvernement Ilunga Ilunkamba a commencé le
travail en septembre 2020. Juste après 3 mois, le
monde entier a été secoué par la crise
sanitaire due à la pandémie de Covid-19 qui
se transformait en crise économique, en
paralysant les activités mondiales. Donc la
RDC n’a pas été épargnée par cette forte et
extrêmement grave contraction économique, a-t-elle démontré avant de signaler que
malgré tout cela, le Gouvernement a mis en
place une politique de conjoncture pour y
remédier. Certaines mesures ont été envisagées et mises en pratique notamment, la neutralisation de la
TVA, octroi des crédits sans intérêt pour
soutenir les entreprises et les opérateurs
économiques, suppression des taxes
agricoles pour faciliter l’entrée des produits
de première nécessité, baisse des prix des
produits pétroliers… L’État a subventionné des
ONG pour un approvisionnement alimentaire
pendant la mauvaise période de
confinement.
Pendant ce temps, les personnes animées de mauvaise foi n’ont pas tari d’imagination pour lui attribuer des histoires à dormir debout aux fins de nuire à sa personne. Tout a été dit, surtout en mal, sur cette Dame qui était Benjamine du Gouvernement Ilunkamba.
Elle a pu résister aux intempéries et aux
critiques politiques animées par la haine
dans une période économiquement
désastreuse de notre pays. Malgré tout cela,
cette vaillante femme de terrain, n’a même
pas dormi un seul jour, afin de monter des
stratégies pour protéger et garder notre
courbe économique intacte pendant cette
période de crise sanitaire qui a causé
d’énormes dégâts économiques sous
d’autres cieux.
N’étant pas reconduit dans le Gouvernement d’Union Sacrée, Acacia Bandubola ne compte pas s’éloigner de la scène politique. Considérant que son expérience acquise dans différentes fonctions qu’elle a exercées se trouve être un apport considérable dans la construction de ce grand pays au cœur de l’Afrique. Elle est prête à la mettre au service de son pays.
Ne pas s’éloigner de la scène politique, c’est aussi parce que c’est toujours son parti politique qui dirige le Pays. Félix Tshisekedi Président de la République et « Autorité morale » de l’UDPS, a besoin que tout celui qui croit en lui puisse l’accompagner. Et ce, même en dehors des Institutions. En fonction ou pas, Acacia Bandubola tient à soutenir le Président de la République, Félix Tshisekedi.
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