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Impact News

L’arrogance épistolaire de la démission de Vidiye Tshimanga confirme le trafic d’influence au nom de Félix-Antoine Tshisekedi !

Manque de courtoisie dans une correspondance administrative, pas de déférence envers la Plus Haute Autorité du pays, pas d’expressions consacrées lorsqu’on écrit à la Plus Haute Institution de la République, pas d’initiales en majuscule des pronoms relatifs à cette fonction lorsque son collaborateur Lui écrit, c’est ce que l’on peut retenir de la lettre irrévérencieuse adressée au Chef de l’Etat par son désormais ex. Conseiller Spécial en charge des questions stratégiques, Vidiye Tshimanga.

Une lettre rédigée dans une langue proche du français sans tenir compte des basiques d’une correspondance administrative qui démontre noir sur blanc qu’il s’agit là, d’une fuite en avant pour quelqu’un qui reconnait sa culpabilité et qui devrait être devant la justice au regard des forfaitures enregistrées depuis qu’il est aux côtés du Président de la République, Chef de l’Etat dont il a couvert de honte et de mépris.

Ce boxeur-homme d’affaires-garçon coop20%, vient d’administrer une fois de plus un camouflet au Chef de l’Etat à qui il vient de manquer du respect dans cette lettre où au lieu d’afficher le profil bas, il justifie son comportement ehonteux et maladroit.

Comment un énergumène de sa race, peut après avoir livré la Plus Haute Institution à la vindicte populaire, Lui demander de croire, à l’expression de ses sentiments les plus (ir) respectueux ?

Avait-il eu un seul instant l’essence de la dignité face au rixe qu’il a offert au public alors Président de Daring-Club Motema Pembe ou lorsqu’il a été cité dans la maffia des ventes des carrés miniers?

C’est ici que l’on attend la justice à l’oeuvre pour celui qui multiplie les infractions. Cette lettre n’est plus, ni moins, un outrage à Chef de l’Etat. Nous y reviendrons.
Bonso Mbivi

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