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Mise au point au sujet de l’exclusion de l’étudiant Joël Cadet Ndanga de l’UCCM



Une décision rectorale numéro 005/022 rédigée dans une langue proche du français en violation des principes du contradictoire et du droit de la défense, publiée sur tous les murs de l’Université Chrétienne Cardinal Malula, partagée viralement dans les réseaux sociaux et signée par le professeur Kilemba Sessa Léopold en date du 05 mai 2022 fait état de l’exclusion définitive de l’étudiant NDANGA Joël Cadet de cette Université pour  »Prolifération des injures aux cadres de l’Université  » avec interdiction d’accès dans l’enceinte de l’Université.

Cette mesure fait suite à un incident où l’étudiant NDANGA Joël Cadet n’était ni de loin, ni de près lié.

C’est lui par contre qui a été victime des injures  »d’impoli, orgueilleux et mal éduqué », d’un certain Trésor, prénommé Intendant de l’Université pour avoir payé les frais académiques de son condisciple Buabua qui était en altercation avec un prénommé Inspecteur.

Ce n’est ni par orgueil, ni par besoin de gloriole que NDANGA paie les frais académiques syllabus de certains étudiants de cette Université ou des autres établissements scolaires ou universitaires puisqu’ ayant étudié dans des conditions difficiles, orphelin de père depuis 8 ans, NDANGA.

Il n’agit ainsi avec ses condisciples qu’avec son coeur de Chrétien maîtrisant mieux les difficultés pour étudier en RDC.

Ce qui lui coûte depuis son inscription dans cette Université de la jalousie et de la haine de la part de ces jeunes cadres qui affichent un comportement frisant la mendicité compte tenu de leurs conditions.

Jamais, Joël Cadet NDANGA n’a proliféré des injures contre les cadres de cette Université et entend poursuivre quiconque va répandre cette décision qui ridiculise, et l’Université, et son signataire professeur de son état, manipulable, qui ne l’a pas soumis au ni contradictoire, ni lui en signifier pour ne la lire que dans les réseaux sociaux.

Ce qui motive sa conviction de comprendre que cette décision est politiquement motivée et fondée sur des raisons tribales.

Vu le caractère diffamatoire et attentatoire à la réputation de l’étudiant NDANGA Joël Cadet, ce qui constitue les imputations dommageables à son égard, il se réserve le droit de saisir les instances judiciaires contre le signataire du communiqué pour être rétabli dans ses droits, si le parallélisme de forme et de procédure n’est pas respecté par lui.

Malheureusement, certains petits esprits instrumentalisés par les politiciens, qui ne savent même pas comprendre les erreurs contenues dans cette décision où l’on parle de  »prolifération » et non de profération s’en servent pour nuire à la réputation de ce grand journaliste et Patron des entreprises de presse.

Pire, le rédacteur de cette décision a oublié qu’il est du droit de NDANGA Joël et d’accéder dans l’enceinte pour prendre son dossier.

Christelle BITOTA TSHILOMBO

Assistante Principale de l’Editeur

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