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Katumbi, la poisse Cheval de Troie des étrangers

Katumbi, la poisse Cheval de Troie des étrangers

L’heure est au choix de celui qui va diriger la destinée des Congolais pour les 5 prochaines années. C’est aussi l’heure où les prédateurs s’activent, tel est un loup dans la peau d’une brebis, à prendre le pouvoir non pour sortir les Congolais dans le gouffre de misère comme l’a fait Moïse de l’ancien testament, mais plutôt pour voler et détruire. Moïse, cette fois-ci, Cheval de Troie.

 

La richesse du sol et du sous-sol congolais, sa diversité hydrographique et sa biodiversité paradisiaque n’ont jamais cessé d’attirer la convoitise des grandes puissances mondiales, mieux les Occidentaux qui cherchent à se maintenir en pôle position face au bloc oriental.

 

Pour y arriver, ils cherchent à placer à la tête de la République Démocratique du Congo un prosaïque qui devra leur obéir au doigt et à l’œil. Un dirigeant facilement manipulable à souhait qui roulerait simplement pour leurs intérêts égoïstes.

 

Si dans le passé certains Présidents avaient servi cette cause des étrangers, celà n’est pas le cas pour Félix Tshisekedi. Arrivé au pouvoir au mois de janvier 2019, Félix Tshisekedi a placé les intérêts des Congolais avant toute chose. C’est pour cette raison qu’il a renvoyé sine die la construction du pont route-rail qui devrait relier Kinshasa à Brazzaville, les deux capitales les plus proches du monde. Considérant les incidences économiques de ce projet en défaveur de la RDC dont l’économie est soutenue en partie par les taxes et redevances issues du port de Matadi, Félix Tshisekedi a conditionné la réalisation de ce dernier par l’achèvement de la construction du port en eaux profondes de Banana dans le Kongo central. A cela s’ajoute l’ouverture des appels d’offres sur les blocs pétroliers qui a suscité la fureur des États-Unis d’Amérique.

 

Ayant fait ombrage à tous les projets allant à l’encontre des intérêts de sa population, les grandes puissances mondiales cherchent à écarter Tshisekedi à la tête du pays après que tous les projets machiavéliques visant son élimination physique aient échoué.

 

Parce que les élections arrivent à grand pas, c’est Moïse Katumbi qui est choisi pour jouer le rôle du Cheval de Troie.

 

Cumillant plusieurs nationalités, Moïse Katumbi est le profil idéal pour servir cette cause car n’ayant rien à perdre si ce pays s’ébranlait. Tous les moyens sont mis en jeu pour arriver à ces fins.

 

Derrière la Mission d’Observation Électorale de l’Union Européenne, se cacherait toute une armée numérique censée hacker le système informatique de la CENI pour incruster de faux résultats donnant Moïse Katumbi pour vainqueur. Ce serait fait le lendemain des élections sous forme des intentions de vote. Objectif, manipuler l’opinion pour ne pas faire foi aux résultats de La CENI, organe habilité.

 

Le refus du Gouvernement (alors bien informé par les services intelligents) de faire entrer la soi-disante valise satellitaire de la MOE-UE devant permettre la liaison avec les observateurs internationaux est un coup de génie qui vient d’empêcher que les intrus puissent s’immiscer dans les affaires intérieures du pays.

 

Comme l’a dit Fayulu, il vaut mieux voter un fils du pays qu’accorder l’Imperium à un quidam qui non seulement ayant une nationalité douteuse, mais surtout qui sert les intérêts de ceux qui pillent et dilapident les richesses du pays de Lumumba.

 

Katumbi à la tête de la RDC ça sera l’instauration de l’anarchie.

Katumbi est un homme qui ne respecte ni magistrats, ni leurs jugements. Il a refusé de rendre les médailles de As Vita Club, malgré la décision du Tribunal arbitral du Sport, TAS. Katumbi est ce genre d’hommes d’affaires plongé dans la maffia comme son compatriote Sylvio Berlusconi qui a fait flop en politique en Italie. Lors de son règne à la tête du Katanga, il s’est jeté dans les conflits d’intérêt jusqu’à vendre la crème et la braise. Pire, lui qui avait promis de promouvoir la presse, il a créé ses deux chaînes de télévision, recrutant tous les meilleurs journalistes de la province et priver la presse du Katanga les moyens de sa promotion.

Ce cheval de Troie reste un danger pour la République.

Nicole Kakese.

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