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Légèreté, chantage, complaisance, imputations dommageables, violation du secret de l’instruction :
Ce qui bloque l’aboutissement des rapports de Jules Alingete en justice !




Légèreté, complaisance, imputations dommageables, violation du secret de l’instruction, telles sont les raisons majeures qui conduisent au rejet par la justice des dossiers initiés et dénoncés par l’Inspection Générale des Finances, sous la conduite de Monsieur Jules Alingete. Rien de consistant, de solide ou de cohérent.
Cela conduit au constat fait par le Chef de l’Etat de la théâtralisation de la justice qui ne serait pas dite étant donné que celle-ci répond principalement à la forme qu’au fond. Lorsque la forme procédurale est entachée, il est difficile d’aborder le fond surtout qu’il s’agit des dossiers liés à la réputation et à l’honneur des personnes physiques.


L’homme des millions
Jules Alingete adore les chiffres. Ce sont des montants en millions de dollar américain qu’il brandit avoir été détournés. Pour cela, il dispose d’une équipe de communication, constituée essentiellement des Communicateurs et journalistes hostiles au régime en place. Ce qui parait un contraste quand on le sait être le bras séculier du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, dans la lutte contre les antivaleurs et la prédation du patrimoine national. Ce sont des journalistes proches de l’Opposant au pouvoir Tshisekedi Moïse Katumbi qui co-gère avec ses Ministres et de l’ancienne Première Dame que Jules Alingete finance pour faire sa propagande avec ces dossiers qu’il dénonce, mais qui revêtent un caractère populiste dans le but d’attirer l’opinion vers sa personne.

La procédure est la bête noire de Monsieur Jules Alingete. Il ne se soucie guère de remettre à sa victime, l’incriminé ses rapports pour permettre à ce dernier de se justifier par sa note d’observation. Il se jette directement dans la presse.
Son équipe viole tous les principes du droit en ce qui concerne les enquêtes et instructions préjuridictionnelles. Son équipe ne sait pas que l’instruction est secrète. Elle ne sait pas non plus que toute personne jouit de la présomption d’innocence jusqu’à ce que la culpabilité soit établie par un jugement revêtu de l’autorité de la chose jugée, c’est-à-dire, un jugement définitif qui ne peut plus faire l’objet d’un appel ou recours.

La vie de plusieurs compatriotes a été jetée ainsi en pâtures par les rapports de l’IGF au point de les regarder jusqu’à ce jour comme des criminels.


Campagne de charme
En tout cas, l’IGF est désormais dans une campagne de charme. Une sorte de masturbation intellectuelle. Il faut juste interroger sa cogestion des entreprises, établissements et institutions publics pour réaliser que l’homme s’est jeté poings et mains liés dans la quête des primes d’aviseurs. Sa fiduciaire est la plus consultée dans ce domaine. Appartenant à sa femme, elle s’est fait beaucoup d’argent qui lui permettent aujourd’hui d’entretenir sa base par l’achat et la construction de grands immeubles sur de grandes concessions. Son épouse a eu des démêlées en justice et s’en est sortie que grâce au trafic d’influence avec certains caciques du régime.


Plaisanterie
Où en est-on avec la cogestion de la SNEL, de Transco dont les anciens dirigeants étaient ses potes et sont dans la plupart de cas en prison ? Le DG de la SNEL et ses collègues membres de la Direction générale croupissent à Makala. L’ancien DG de Transco, Chief Tshipampa, qu’il a manipulé pour nuire dans les medias, le professeur Tony Mwaba, par des montages grotesques a été présenté en cavale et ne sait pas répondre devant la justice.
Où en est-on avec les dossiers sales du Lualaba ?
Aujourd’hui, il s’est associé à Mme Fifi Masuka, Gouverneure a.i de la Province du Lualaba pour nuire aux intérêts de la Princesse Kayinda dont les actions parlent d’elles-mêmes dans la lutte contre la guerre qui sévit dans l’Est de la RDC. La Dame qui a réussi à mobiliser à Kinshasa, et pour l’intercession pour la République contre l’agression, et pour la marche pour déposer un mémo à la Monusco contestant le silence, l’hypocrisie et la duplicité de la Communauté internationale. Elle a réussi. Au Lualaba, cela fait peur. On sent qu’elle constitue une menace surtout pour la Gouverneure a.i. dont l’on connait les mobiles de son maintien en violation des dispositions constitutionnelles et légales.


Un nouveau montage
Voilà ce qui le conduit à fabriquer un nouveau dossier dont les rapports déposés dans les réseaux sociaux pour saper l’honneur de cette Servante de l’Eternel qui n’a jamais été dans la magouille.
Jules Alingete se serait mis dans la poche de l’actionnaire majoritaire au sein de la Jointe-venture DATCOM pour noyer cette entreprise publique pour laquelle, Mme le Ministre d’Etat et Ministre du Portefeuille a reçu les instructions claires du Président de la République pour son relèvement.

La COMINIERE a été plongée dans la léthargie depuis 2017 par AVZ qui n’est qu’un spéculateur, sans une mallette financière de nature à relever le défi, pour se limiter à aller lever les fonds sur le marché international pour ses propres intérêts au détriment de la population de Manono et des travailleurs de cette entreprise de l’Etat.

Droit de préhension, oui. Mais qu’est-ce qu’AVZ a déjà fait comme travail jusqu’à ce jour ? Avoir autorisé la cession des actifs de la COMINIERE est une opération qui n’est pas encore effectuée et Jules Alingete qui s’est érigé en Expert en tout ne sait pas indiquer une étude certifiée d’évaluation des actifs miniers dont disposerait ladite entreprise et leur réelle valeur en termes des richesses et non des potentialités.

C’est donc de la surenchère justifiée par une corruption de la part d’AVZ qui veut rouler tout le monde et garder COMINIERE dans un état inerte. Heureusement que beaucoup d’acteurs du monde politique, ont compris que l’homme est à la quête des moyens pour sa propre propagande pendant qu’il va tourner le dos à Félix-Antoine Tshisekedi l’année prochaine, en le chargeant d’avoir bloqué ses prétendues patrouilles financières. Il ne tardera pas à jeter le discrédit sur les magistrats pour des dossiers très sales et mal ficelés.


Nous y reviendrons


*Nicole Kakese*

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