Lors d’un culte d’action de grâces : Adèle Kayinda accorde son pardon à Bahati Lukwebo, Alingete et à leurs robots communicants diffameurs et calomniateurs !

La Diaconesse, Princesse Adèle Kayinda, Mama Kipendano, a accordé son pardon à tous ses ennemis qui l’ont combattue pour ne pas la revoir revenir au Gouvernèrent. Parmi ses farouches ennemis qui ont mis en branle la toile pour la charger des calomnies, des imputations dommageables et des injures de toutes sortes, se présentent en grandes lettres et en gras italique, Messieurs Modeste Bahati Lukwebo et Jules Alingete, respectivement Président du Sénat et Inspecteur Général des Finances, Chef de Service de l’IGF, qui avaient engagé leurs robots communicants pour mettre en branle la toile et les médias pour jeter un discrédit sur cette servante de l’Eternel, par des allégations mensongères, calomnieuses, diffamatoires ayant porté lourdement préjudice à sa réputation par des imputations dommageables. Elle ne les a pas cités nommément. Mais tout le monde pouvait s’en rendre compte sans avoir besoin des microscopes.En effet, moins sont ceux-là qui croyaient à sa reconduction de la Princesse au deuxième Gouvernement sous la conduite du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde.

Non sans raison, parce que toutes les machines de ses détracteurs étaient mises en place pour la voir écartée. Un lobbying politique de taille et une stratégie de sabotage prenant en compte la vindicte politique sur plusieurs dossiers montés de toutes pièces.Avec la contribution de l’IGF, le nom de la servante de l’Éternel n’avait autre attribut que celui de « voleuse » et de « bradeuse des matières premières et des concessions minières de lithium de Tanganyika ». Le dossier opposant la COMINIERE, AVZ et ZIJIN. Pire, c’est de voir sa même famille politique, AFDC- A de Modeste Bahati Lukuebo contribuer à son échec en s’illustrant dans des campagnes de sabotage et de médisance.Pour eux, les dés étaient déjà jetés, l’éviction d’Adèle Kayinda n’était qu’une question des jours depuis l’annonce du remaniement par le Chef de l’Etat. Il ne restait que la formalité de publication des nouveaux membres pour mieux se moquer d’elle.Malheureusement, les détracteurs de la Diaconesse Adèle Kayinda Mahina, dans leur plan, ils avaient oublié que leur « proie » place sa confiance en l’Éternel qui intervient en dernier ressort. Et oui, c’est justement cette intervention de Dieu qui a influencé le pouvoir discrétionnaire de Félix Tshisekedi pour maintenir sa servante dans ce Gouvernement.

Le 24 mars, la nouvelle est tombée, Adèle Kayinda Mahina est reconduite au ministère du Portefeuille comme Ministre d’État.Reconnaissante de ce que Dieu est, et a fait pour elle, la Ministre d’État et Ministre du Portefeuille a tenu à lui rendre hommage. C’est ainsi, ce mardi 11 avril, un culte d’action de grâces a été organisé à la Cathédrale protestante du centenaire de Kinshasa dans la commune de Lingwala.Après louanges et adorations faites par les différentes chorales de l’ECC, la parole a été accordée au Secrétaire général du parti ALDEC dont Adèle Kayinda Mahina est Autorité Morale.

Dans son allocution, le Secrétaire général a retracé l’histoire de la Ministre d’État Adèle Kayinda partant de son cursus scolaire et son parcours professionnel.Loin d’être une paresseuse, le discours du Secrétaire général a révélé l’expérience que cette dame draine. Dans le secteur privé que public, Adèle Kayinda a excellé. Son parcours politique ne reste pas en marge. A séjour, elle est la doyenne de tous les députés nationaux. 21 ans durant, elle est toujours à la Chambre basse du Parlement.Parce qu’un culte d’actions de grâces, la Ministre d’État Adèle Kayinda a trouvé l’occasion, lors de son discours, de remercier Dieu pour avoir, d’une part permis sa reconduction au Gouvernement Sama 2, et d’autre part, du fait de la célébration de ses 53 ans de vie ce même 11 avril.L’occasion faisant le larron, Adèle Kayinda Mahina a fait savoir à tous que suite à son intégrité et sa crainte de l’Éternel qui ne lui permet pas de se compromettre, les forces ténébreuses l’ont combattue au point de ternir son image dans l’opinion via les réseaux sociaux.Malgré tous ces combats, elle dit avoir été confiante en l’Éternel.

« Durant ces moments d’épreuves, j’ai pensé à Daniel à la fosse aux lions, à Joseph en Israël et à Mardochée à Babylone. J’avais la ferme assurance d’en sortir vainqueur », a-t-elle dit.Parce qu’enfant de Dieu, Adèle Kayinda a pris la ferme résolution de pardonner à tous ses détracteurs.