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La sénatrice Dieudonnette Mungwananjo se ridiculise par l’ignorance, et du français, et de la loi qu’elle est sensée élaborer et voter!

La sénatrice Dieudonnette Mungwananjo se ridiculise par l’ignorance, et du français, et de la loi qu’elle est sensée élaborer et voter!

Rares sont les parlementaires qui savent leur rôle. Ils sont très proches des médias et actifs seulement sur les réseaux sociaux. Ils ne sont connus que dans les médias et réseaux sociaux et dans des combines de honte. Jamais ils ne prennent la parole lors des débats. Aucune initiative ni en termes de légiférer, et moins encore de contrôle parlementaire.

C’est le cas de la Sénatrice Dieudonnette Mungwananjo qui confond la sémantique du mot  »rébellion » lorsqu’elle ne sait pas que celle-ci est une révolte contre une autorité établie. Elle ne sait même pas en tant qu’élue des élus et membre de la Chambre Haute, considérée comme Chambre des Sages, protéger l’autorité de l’État établie à Watsa qui est superbement ignorée par des femmes et hommes sans foi, ni loi qui organisent les manifestations en toute violation de la Constitution.

Facile de comprendre lorsque l’on sait de quelle manière les élections des sénateurs ont été organisées dans cette province qui a été faite cadeau à une famille pour avoir organisé la fraude.

Facile aussi lorsque le niveau d’instruction dans le chef de cette Sénatrice est jugée « très faible » lorsqu’elle ne maîtrise pas comment répondre à un média. Triste lorsqu’elle est relayée par des journalistes qui oublient que l’on ne peut pas répondre à un article d’un confrère dont ils ne sont pas concernés par la querelle. Triste et pire lorsque ce tweet est partagé par des femmes et hommes sensés être intellectuels.


Elle a tout simplement étalé son ignarité sur la place publique et beaucoup de juristes se moquent d’elle. Et le Journal en ligne « Le Coq » émis de Haut-Uélé relaie en mauvais français cette ignarité dans une langue proche du français.

En effet, cette Sénatrice qui a étalé son faible niveau d’instruction et de la maîtrise de la loi a répondu à un article du Journal IMPACT NEWS qui a dénoncé une rébellion dans la province de Haut-Uélé, Territoire de Watsa, secteur de Kibali où les membres de la Société civile avaient organisé des Journées villes mortes dans une cité qui n’a jamais été érigée en ville. Des manifestations qui se sont transformées en actes de vandalisme où les biens des privés ont été cassés, la voiture du Directeur Kasongo de Kibali caillassée. Sans compassion à l’égard des électeurs de ses électeurs, elle a traité en relayant notre article sur son compte tweeter de Fake news.
Nous reviendrons sur son bilan au sénat et sur ses aventures dans notre édition papier du lundi prochain.

Jeep caillaissée par les manifestants

La Rédaction

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